Comme des centaines d’autres groupes communautaires, les membres du FRAPRU se mobilisent pour affirmer l’urgence d’agir contre les dérèglements climatiques et mettre en lumière leurs conséquences sur les personnes les plus pauvres. Le 27 septembre, une majorité d’entre eux suspendront leurs activités régulières afin de participer au mouvement de grève planétaire pour le climat.
Les canicules, sécheresses et autres catastrophes « naturelles » (ouragans, cyclones, inondations, coulées de boue, effondrements des glaciers, fonte du pergélisol, etc.) font des milliers de victimes chaque année et détruisent des régions entières. Le réchauffement et la montée des eaux menacent la vie sous toutes ses formes.
Cette crise menace les droits humains, dont le droit au logement !
Au Québec, comme ailleurs, ce sont les populations les plus vulnérables qui subissent le plus durement les dérèglements climatiques; les épisodes récents de vagues de chaleur, les inondations et les tornades l’ont bien démontré.
Mais la lutte contre les dérèglements climatiques elle-même peut creuser les inégalités sociales et priver certaines personnes de leurs droits si elle n’est pas entièrement pensée dans une perspective de diminution des inégalités et de justice sociale. Inversement, il restera vain du lutter contre les inégalités si dans le même temps, on ne fait rien pour assurer la survie de l’espèce humaine.
Le 27 septembre joignez-vous au mouvement et participez aux actions organisées dans votre région.
À Montréal, le contingent du FRAPRU se rassemble dans la partie nord-est du parc Jeanne-Mance, coin du Parc et Mont-Royal Ouest, à 12h.
Le 27 septembre, marchons ensemble
pour une transition écologique basée sur le respect de tous les droits!
Matériel d’information et de mobilisation:
Dépliant «Droit au logement et crise climatique: même combat» publié par le FRAPRU
Fiche «Pourquoi la grève dans le communautaire», diffusée par La planète s’invite au parlement