Les gouvernements canadiens et québécois doivent investir dans le logement social. Mais l’avenir qu’ils lui réservent est plus qu’incertain. Supposément au nom du déficit zéro, le gouvernement provincial de Philippe Couillard vient de sacrifier la moitié des unités de logement social, déjà largement insuffisantes, qui seront réalisées au Québec.