« Non seulement les taux de logements inoccupés diminuent-ils dramatiquement, mais les loyers, eux, accélèrent leur escalade. Nous ne sommes pas loin de la tempête parfaite, si on prend également en considération le nombre élevé d’évictions dues à la spéculation. L’année qui commence sera extrêmement difficile pour le droit au logement, partout au Québec ». C’est en ces termes que Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU, a commenté le Rapport sur le marché locatif publié ce matin, par la SCHL.