Les histoires d’horreurs se succèdent pour trop de locataires toute l’année au Québec. La pénurie de logements locatifs, la plus sévère en 15 ans, et la magnitude inégalée du phénomène, laissent de plus en plus de locataires dans une situation effrayante: les logements se font rares, surtout, ils sont trop chers et il n’y a pratiquement pas d’alternatives.
Le logement social n’occupant que 11 % du parc locatif, son poids n’est pas assez important ni pour répondre aux besoins de plus en plus criants, ni pour empêcher les promoteurs et les sociétés d’investissement de 𝐯𝐚𝐦𝐩𝐢𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 nos communautés. Pour y arriver, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐝𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐚𝐮 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝟐𝟎 %. Tous les paliers de gouvernements, à commencer par celui du Québec, doivent se fixer une cible claire et ambitieuse de nouveaux logements sociaux et communautaires à réaliser. 𝐒𝐞𝐥𝐨𝐧 𝐥𝐞 𝐅𝐑𝐀𝐏𝐑𝐔, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐝𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐨𝐮𝐛𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝟏𝟓 𝐚𝐧𝐬.
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