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Une semaine après le discours inaugural qui ne plaçait pas la situation préoccupante du logement dans les priorités de la session parlementaire, l’Association des groupes de ressources techniques du Québec (AGRTQ), la Confédération québécoise des coopératives d’habitation (CQCH), la Fédération des locataires de HLM du Québec (FLHLMQ),  le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) et le Réseau québécois des OSBL d’habitation (RQOH) interpellent le gouvernement Legault, avec l’appui des porte-parole en habitation des trois partis d’opposition, Marie-Claude Nichols, députée de Vaudreuil (PLQ), Andrés Fontecilla, député de Laurier-Dorion (QS) et Véronique Hivon, députée de Joliette (PQ).
Le manque de logements sociaux, l’insalubrité, les logements de taille inadéquates ou trop chers, les hausses de loyers abusives et les pratiques discriminatoires sont monnaie courante au Québec.
Quelques centaines de personnes manifestent au centre-ville de Montréal cet après-midi, à l’appel des groupes membres de Montréal du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), du Regroupement des comités logement et associations de locataire du Québec (RCLALQ) et du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes du Québec (RAPSIM), pour exiger des candidats et des candidates en lice à la mairie de Montréal des engagements clairs et ambitieux pour le développement du logement social, contre l’effritement du parc de logements locatifs encore abordables et pour un plan solide de lutte à l’itinérance.